Provenance : les côtes instables de la mer Notoire, à l'Ouest de l'Hiscontie |
Usage habituel : décoratif |
Résistance : inébranlable |
Dégâts : 2d6 |
Exemplaires : unique |
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De fait, bien malin celui qui arriverait à ôter cette épée de cette enclume. Il est normal que nul n'y ait jamais réussi, puisque ces deux objets apparemment plantés l'un dans l'autre, n'en forment en fait qu'un seul. L'épée et l'enclume sont formés d'une seule pièce, ce qui les rend impossible à séparer. Le Nonsense est probablement l'auteur de cette absurdité...
Il serait cependant possible d'utiliser l'objet comme une massue. Seul un homme particulièrement fort (FOR > ou égale à 16) en est capable. Utilisée en combat (l'épée servant de manche et l'enclume de masse), le tout est maniable de la même façon qu'une arme d'hast et inflige 2d6 pts de dégâts. Le problème avec cette arme, c'est que la lame de l'épée est extrêmement souple et aiguisée, ce qui signifie que si on prend l'objet par la poignée de l'épée, celle-ci plie aussitôt et ramène l'enclume vers le bas, quoi qu'on fasse ; et si on s'aventure à saisir l'épée par la lame, on se coupe vilainement, même quand n possède des gantelets d'armure (par un phénomène inexpliqué, la lame reste toujours extrêmement bien aiguisée).
Mais encore faudrait-il que les hiscontes se rendent compte de leur erreur... de nombreux jeunes gens s'essaieront probablement à arracher cette épée qui n'en est pas une, avant que la vérité ne soit dévoilée...
Une légende hisconte au sujet de cet artefact : certaines rumeurs racontent que le nom de l'épée/enclume vient non de son découvreur, mais de son inventeur, un armurier d'un pays instable, qu'on appelait Merlin, et qui aurait fabriqué cette arme pour le compte du roi de son pays. D'où le premier nom de l'objet : le roi/Merlin... mais tout ceci n'est bien sûr qu'une rumeur...
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